A par que ce texte est naturaliste Emile Zola donne aussi une vision métaphorique de l’accident. Il est à noter que la machine est humanisée. Tout d’abord, elle possède un nom « Lison », auquel on donne de l'importance en lui ajoutant un déterminant « la », sous-entendant par-là qu'il ne s'agit pas de n'importe quelle machine. Elle est personnifiée telle une femme. Zola la donne un corps réel et physique, doué de sentiment et de vie. Ensuite humanisant la machine par son nom, Zola poursuit avec des caractéristiques propres à l'humain pour cela il utilise le champ lexical de l’anatomie comme :les reins, le ventre, une haleine, le sang, ses entrailles, son souffle l’utilisation de ce champ lexical dans l’extrait caractérise et décrit plus la machine personnifier. Enfin l’humanisation est montrée de même par la douleur ressentie l’auteur veut provoquer un sentiment de pitié et de compassion chez le lecteur car il use d’un registre pathétique « pareils a des râles furieux de géante…» . La phrase «… par ou l’âme continuait de sortir… » est comme une annonce du fait qu’elle ne survivra pas a l’accident. Le lecteur voit dans ses indices une annonce qui montre que toute son âme va partir jusqu’à ce quelle cri son dernier souffle.
Cependant, une vision chaotique est présenté la scène parait presque apocalyptique. D’abord il y a un état des victimes qui est fait par le narrateur car la Lison fait un parallèle avec le cheval par exemple la locomotive a des entrailles, un ventre, une haleine, des reins et le cheval a ces mêmes organes deux pieds, ses entrailles, son ventre, sa tête droite. La locomotive souffre comme le cheval « spasme d’atroce douleur ». Le parallélisme fait par Zola montre que la violence du choc est terrible car ils subissent tout les deux les mêmes dégâts physique et