La Cantatrice Chauve est une anti-pièce parce qu'elle contredit la façon dont la plupart des pièces sont écrites. À mon avis, la Cantatrice Chauve est une pièce sans un point culminant vrai qui sert à montrer que les mots n'ont plus de sens pour plus que leur son. Habituellement dans la littérature, il y a une lien entre l'intrigue de l’histoire et le titre, mais dans cette pièce, mais pas dans cette histoire. Dans son livre, Ionesco n'a fait référence que deux fois au personnage qui fait une grand partie du titre. Dans l’histoire, la cantratice chauve est mentionée seulement comme partie d’une “À propos...” au scène X, mais pour le lecteur, la Cantratice chauve est le personnage dont on ne sait rien parce qu’elle n'apparaît jamais, elle ne parle jamais, et elle n’est jamais décrite dans l'histoire. La Cantatrice Chauve est une “anti-pièce” car il ne suit pas la structure habituelle d’une pièce. Habituellement dans le théâtre, il y a des divisions entre les actes, mais dans cette histoire, cela n’est pas le cas. C’est une pièce qui n’a pas d’action, ou d’intrigue, (donc il n’y a pas un héros!) et dans laquelle les personnages parlent entre eux d'une manière impossible de comprendre. Cette histoire contient beaucoup de détails qui défient la logique et donc deviennent surréalistes. Dans la scène 5, Mme et Monsieur Smith et Martin entendent la sonnette. Quand Madame Smith tente d’ouvrir la porte, il n'y a jamais personne. Enfin, quand la sonnette cesse de sonner et M. Smith, va ouvrir la porte, le pompier se présente. Mme Smith conclut que “lorsqu’on entend sonner à la porte, c’est qu’il n’y a jamais personne” (pg 50.) mais quand on n’entend pas sonner à la porte, c’est parce qu’il y a quelqu’un de l'autre côté. Cette “logique” est bizarre et vraiment illogique! mais dans l’histoire, l’illogique devient normal. La comédie de l’ouvre reste dans ces petits détails qui font que le lecteur échappe de sa propre réalité. Vers la fin de l'histoire, les personnage