La chambre des officiers
2) De quelle région de France est-il originaire?
Adrien est originaire de Dordogne, là ou vivent ses grands-parents « mon grand père à couvert ma fuite de la maison ».
3) Au début du roman, il est question d’une jeune fille. Comment s’appelle-t-elle? Quand le narrateur la rencontre-t-il ?
Arrivé à la gars de Paris « en route pour Paris » par le train en prévenance de Lalinde « pris la direction de Lalinde », il pose son paquetage au sol, à cette instant, il remarque une jeune fille se nommant «Clémence» en larme faisant ses adieux à un homme « quand je relevai les yeux, un femme en larmes, devant moi tenait par la main un jeun homme frêle », et il ne put s’empêcher de lui adresser la parole « je ne trouvais rien de mieux à faire que de lui adresser la parole ».
4) Quel métier exerçait le narrateur avant la guerre ?
Avant la guerre Adrien Fournier était un « ingénieur spécialisé dans les ouvrages d’art pour chemins de fer »
5) Dans quelles circonstances le narrateur est-il blessé (Où? Comment?)
Lors d’un mission de détection des sites favorable à la mise en place de ponts mobiles sur la Meuse, Adrien accompagné de deux sous-lieutenant « les deux sous-lieutenants arrivent, tirés à quatre épingles » se rapprochant de l’endroit où la Meuse se resserre, pendant que Adrien descends de sa monture « pied à terre », il entend une « détonation, un sifflement d’un quart de seconde », il assiste au décès des sous-lieutenants « une tête qui se détache d’un corps »; « l’autre s’écroule de mon côté » ensuite il décrit ce qu’il éprouve d’une façon insipide « je sens comme une hache...
1. Le narrateur se sert d’une ardoise pendant son séjour dans la chambre des officiers. A quoi sert-elle ?
L’ardoise lui sert à communiquer avec son entourage car il n’arrive plus à parler.
2. Pourquoi enlève-t-on les miroirs dans cet hôpital ?
On enlève les miroirs afin que les blessés évitent de voir leur visage