LA Chants d'en bas
Le texte est poème écrit par Philippe Jaccotet dans 1974. « Chants d’en bas » renvoie à un parole poétique inspirée par la mort et opposée à un élan créateur venu de la vie ; et le texte à étudier est une section de ce recueil et s’intitule « Parler I ». Le genre est argumentatif
Le texte ce divise-t-il dans trois strophes, et le nombre de verses en chaque une varie de plus a moins.
Premier strophe : Jaccottet expose sa thèse. L'attention du poète se situe entre l'amplification poétique et la rigueur d'une description qui ne se tiendrait qu'aux signes. Le poète y réfléchit à l'assouplissement possible du poème et à la légitimité de la poésie dans ce monde de chaos. Il define « parler » dans cette strophe, il dit que parler c’est facile, qui est risquer peu de chose (vers 1 au 2) (et après il donne une autre définition dans la troisième strophe.)
Il critique l’usage poétique de la langue. Dans vers 3 et 5 on peut voir la énumération, cela produit un effet rythmique, el auteur exprime-t-il son rejet à l’usage poétique de la langue, il dit que les mots perdent leur sens réel quand ils se déplacent au langage poétique. Au vers 7, l’usage de la rime dans la poésie est mis en question : Jaccotet critique l’usage des mots dans la poésie que pour obtenir le son musical caractéristique de la rime.
Indirectement il fait un blâme contre les poètes, parce que « parler est facile, et tracer des mots sur la page, es risquer peu de chose », le poète peux parler de sang, peux écrire le mot »sang » une infinité de fois, car il ne va blesser pas, ni la page sera elle tachée (vers 8 au 9).
On peut voir aussi la métaphore en référence la poésie au vers 11 au 14, avec les mots « jeu en horreur »
Deuxième strophe : Jaccottet utilise le majuscule au début de phrase pour convention poétique, il exprime alors le début de une nouvelle idée. Le poète profundis sa thèse, il le humanise. Il explique la possible