la chine et le vin
Notre région bordelaise compte environ 8000 propriétés viticoles. Cela va de la plus modeste, au plus grand des châteaux. Face à la crise, les petits propriétaires on du mal à s’en sortir sur le marché mondiale. En effet, les maisons de négoce réussissent à vendre les crus prestigieux, mais les petits bordeaux restent sur le coté.
C’est à ce moment que la chine entre en jeux. Elle est aujourd’hui la 3 ème puissance économique mondiale après les Etats-Unis et le japon. Quand
Deng Xiaoping dans les années 1980 ouvre les frontières de la Chine au commerce international, elle devient très vite l’usine à petit prix de l’Europe et des Etats – Unis. On voit apparaitre une classe moyenne significative à partir de 2005 (450 millions d’habitant font partis de cette classes moyennes). La chine découvre peu à peu les produit de luxe, et notamment le made in France (Vuitton, Hermès, …) et les grands crus de bordeaux.
La chine devient donc tout naturellement un marché porteur pour le bordelais mais on voit aussi que notre patrimoine plus concrètement les intéresse de plus en plus.
Un nouveau marché pour l’économie viticole bordelaise es vins et spiritueux ont battu l’an passé des records d’exportation en dépassant les 10 milliards d’euros. Ce secteur représente le deuxième plus gros poste excédentaire de la balance commerciale de la France (8,6 milliards d’euros). Les vins de bordeaux représentent 2 milliards d’euros de chiffre d’affaire.
L
Dans les années 1980, 82% du vin était consommé là où il était produit. Aujourd’hui avec le commerce mondial, la concurrence s’intensifie. Cette expansion à davantage servie au « nouveau monde viticole » tel que l’Australie, La Nouvelle – Zélande, l’Argentine, le
Chili. Alors que la consommation du vin augmente partout dans le monde, pendant les dernières années, le marché du vin bordelais a vu ses chiffres chutés.
Les nouveaux consommateurs cherchent leur vin ailleurs, surtout en