La civilisation des moeurs
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1°) Par désavantage sociale Schwartz entend par là un groupe dont son existence est désavantagé en raison de leur faible niveau de compétence et ils sont qualifier de vulnérable, de faible dans la société, ces personnes là n’ont pas de travail, la plupart sont au chômage ou son souvent marquer par l’absence des conditions des moyens pour retrouver une situation acceptable dans la société ou qu’ils ont un emploi mais dur et mal rémunéré avec un niveau de revenu très faible, certaine des ces personnes son mise à l’écart dans la société. Comme par exemple le cas des ouvriers qui occupe des emplois dite non qualifier avec un faible revenu et souvent confronté par le chômage, les personnes inexpérimentées qui n’ont pas de compétence pour s’intégré dans la société ou dans le domaine du travail le fait qu’ils sont inexpérimentés prouve qu’ils sont bien vulnérable ou bien à des pauvres appelé classe populaire qui souvent exclu dans la société du fait de leur manque de compétence et qui ne dispose pas suffisamment de ressources pour s’intégré dans la société, le désavantage touche aussi les jeunes issu de l’immigration du fait de ne pas maitriser la langue du paye ou encore les jeunes diplômés qui la plupart éprouve des difficulté pour accéder dans le monde du travail et qui ne parvient pas à trouver un emploi stable
2°) L’extension du domaine du désavantage sociale revoit la théorie de la moyennisation dans la mesure où sa renvoie en terme de mode de vie et en terme d’inégalité de revenu, de travail et aussi de salaire dans la société le fait que des groupe dans la société sont désavantagé et mise a l’écart face a leur situation d’invulnérable puisque la théorie de moyennisation s’appuie sur des différentes domaine notamment en ce qui concerne les revenues des classes, les modes de consommation, des conditions de vies, des loisirs et les modes de comportement, de pratique dans une société de classe et ça permet de réduire des nombreux inégalité des classes sociales