La cloche felee
L'âme reste fêlée ou déchirée car elle subit des plaies internes et profondes, occasionnées par les ennuis. L'âme s'use et s'affaiblit au fur et à mesure de la progression d'âge. À un moment donné, l'âge ne " chante" plus. Elle pousse un "râle" avant de s'agoniser. ''Sous un tas de mort" donne l'image d'un poids appréciable qui étouffe le poète et qui le plonge vers le bas en dépit de ses efforts. Cette image symbolisant la mort est en opposition avec celle présentant les souvenirs qui "s'élèvent" dans l'air.
En somme, dans les deux poèmes, l'auteur a réussi, à travers les symboles, a illustrer les côtés extrêmes de la vie
La cloche reste un symbole de l’idéal. Un champ lexical de la spiritualité se dégage de la deuxième strophe .Les mots "bienheureuse', "fidèlement" présentent l'élévation de l'âme alors que "religieux" définit la spiritualité. Les expressions "bienheureuse" et "fidèlement" servent à illustrer la cloche comme un modèle, un illuminé des arts car l'art permet de vaincre le spleen. La comparaison au soldat illustre la vigueur et la discipline de la cloche dans cette guerre contre l'ennui. La bravoure et la discipline permettent a la cloche de résister au spleen, de rester dans l'élévation .Donc, ces deux atouts rendent possible l'atteinte de l'illumination, de l'idéal.
Bref, les symboles des saisons et de la cloche planent dans ces deux œuvres caractérisant bien le