La combinaison productive est l’association du travail et du capital du travail choisie par l’entreprise pour produire une certaine quantité de biens ou services. Cependant, ces choix sont pris sous contraintes : les exigences technologiques et la standardisation des procédés et des coûts.

I. Les exigences technologiques.
La contrainte technologique est très forte lorsqu’il s’agit de fabriquer un nouveau produit. En effet il faut réadapter les machines, au nouveau concept établi. Par exemple, pour la création d’une carte à puce qui est capable de se connecter à une distance de quelques centimètres, il faut y insérer une antenne et un connecteur à cette antenne. Pour cela, il faut aménager des nouvelles fonctionnalités sur les machines, voir en racheter des nouvelles pour être plus performants.

II. La standardisation. A. La standardisation des procédés. Elle permet la limite de quantité de gaspillage, assure la fiabilité du produit et peut être répliqué dans d’autres entreprises. Par exemple, l’ajout d’un élément sur une carte à puce nécessite la création d’un nouveau poste opérateur chargé d’une nouvelle opération pour pouvoir être répliqué dans d’autres usines. B. La standardisation du coût. Le coût moyen d’une entreprise baisse quand le volume de production augmente. Elle doit donc garder tous les mois la même quantité de production. Cela réalise une économie d’échelles. En effet plus elle produit, plus elle devra dépenser en nouvelles machines, nouveaux bâtiments, ect.., ce qui augmentera son coût fixe. De plus, avant de s’engager dans la production, l’entreprise doit engager des salariés, acheter des machines et les matières premières nécessaires à la production. L’efficacité de l’entreprise repose sur ses prévisions de production. Celles-ci sont basées sur les coûts fixes et les coûts variables qui ne doivent avoir un écart trop important entre eux pour éviter