La critique de l'absolutisme, synthese
L'Angleterre est une monarchie limitée: le roi partage son pouvoir avec le Parlement composé de la Chambre des Lords (Lords par hérédité ou nommés par le roi) et de La Chambre des Communes (députés élus par le « Peuple »: les hommes les plus riches, soit 400 000 au début du XVIIème s.).
Le Parlement existe depuis le moyen-âge, mais à la fin du XVIIème ses droits ont encore été renforcés au dépens du pouvoir royal.
En 1679 le Parlement a imposé au roi l'Habeas Corpus au roi interdisant ainsi toute décision de justice arbitraire et garantissant le respect des libertés fondamentales.
On y respecte la liberté de culte et la liberté de la presse.
En 1688 c'est la Glorieuse Révolution. Le roi Guillaume d'Orange doit accepter la Déclaration des Droits (le « Bill of Rights ») qui limite fortement les pouvoirs du roi et augmente ceux du Parlement.
Le Roi nomme un Premier Ministre, tout deux possèdent le pouvoir exécutif (ils font appliquer les lois)
Le Parlement détient le pouvoir législatif: ils votent les lois et le budget
Le « Peuple » constitue le corps électoral (il élit les députés de la Chambre des Communes)
Les Lumières
Les philosophes des Lumières.
Au XVIIIème en France les penseurs commencent à critiquer l'Eglise Catholique, l'organisation de la société ou la monarchie absolue.
Leurs critiquent s'appuient sur la raison.
On les appelle les Lumières car ils veulent éclairer les esprits.
A cette époque l'Angleterre fait figure de pays libre et son système politique est un modèle pour les philosophes (Voltaire surtout).
Des idées politiques nouvelles:
Les philosophes réclament: la liberté de culte et la tolérance religieuse les libertés d'opinion, de presse et de réunion une justice plus humaine et condamnent les emprisonnements arbitraires et la torture.
Les philosophes critiquent la monarchie absolue:
Diderot: le roi ne peut gouverner qu'avec l'accord des autres hommes
Voltaire: l'idéal est la «