La de la révolution industrielle à l'ouverture des marchés mondiaux
La Révolution Industrielle se définit comme étant le passage d’une économie à forte dominante agraire, à une économie industrielle. La société touchée par ces changements est en forte mutation, les conditions de travail vont considérablement se transformer, pour finalement laisser place à deux classes sociales qui s’opposent en tout point : les bourgeois, possédant les moyens de production (usines, fabriques, boutiques …) et les prolétaires, qui n’ont que leur force de travail, et qui la vendent contre un salaire. Ce résultat est le fruit d’une nouvelle idéologie, connu dans le passé, mais qui obtient son essor dans le contexte économique créé par la Révolution Industrielle : il s’agit du Capitalisme. Le Capitalisme est la séparation entre le capital (usines, machines ...) et le travail. Celui qui possède l’usine n’est donc plus celui qui travaille dedans, du moins à un poste d’ouvrier. Cette idée est faite de concurrence et dont la motivation principale reste la recherche absolue du profit , en pratiquant entre autre le mécanisme de la plus value ; c'est-à-dire que l’ouvrier ne sera payé que pour une partie de ce qu’il fait, et le reste revient à l’employeur.
Le Capitalisme a deux aspects connus au cours de l’histoire. Entre le 16ème et le 18ème siècle, c’est un capitalisme commercial qui est effectif. Il se manifeste par l’exploitation des ressources, et du négoce maritime et colonial. Depuis la fin du 18ème, c’est un capitalisme industriel et financier. Il se manifeste par la division du travail