La fable
I/ DEFINITION :
Etymologiquement, le terme fable vient du latin …………………. qui signifie « récit ». En effet, la fable est un court ……………. en vers ou en ……………. mettant le plus souvent en scène des
……………………. et incluant une ……………………. qui peut être explicite ou …………………….. .
La visée de la fable est double : plaire et ……………………….. .
La fable est ainsi une des variantes de …………………………… défini comme « un court récit exposé sous forme allégorique et renfermant un enseignement » (Grand Robert).
II/ L’EVOLUTION DU GENRE :
Notre séquence nous permet d’étudier l’évolution du genre, de l’Antiquité à la Modernité.
1- Les origines du genre.
Très ancienne, la fable remonte à la tradition orale. Elle se développe notamment en Inde et dans l’antiquité gréco-latine ; c’est un genre …………………….. .
Le père de la fable pour la tradition occidentale est le grec ……………………. ( VIème s.av.J-C.) Elle se présente alors sous la forme de courts récits en prose à visée essentiellement ……………………………. . Esope, auteur latin du 1er s.ap.J-C s’inscrit dans la continuité de Phèdre.
Le genre se développe ensuite au Moyen-Âge où il est utilisé dans les sermons religieux et comme outil pédagogique à destination des enfants.
2- ……………………… et le triomphe du genre.
Au XVIIème siècle, ……………………………… renouvelle le genre de la fable et lui donne ses lettres de noblesse (texte 1). Tout en s’inspirant de modèles gréco-latins ( Phèdre / Esope) et orientaux ( Pilpay) il innove en ………………………….. le récit qui se charge de péripéties et accorde plus d’importance au décor et aux personnages. Ses fables, écrites en ……………. prennent souvent un caractère…………………………. avec l’insertion de différentes formes de ………………… rapportés. Autre originalité, l’intervention du ………………………qui instaure une complicité avec le …………………… . La visée de la fable devient en outre plus ambigüe, la morale restant parfois …………………. .
3- L’évolution du genre à travers ses réécritures. Cet