La femme dans la famille
Une politique d’aide aux mères
Il a été mis en œuvre une véritable politique familiale, possédant un salaire parental conséquent, indépendant des autres revenu du foyer : notamment des aides pour la garde des enfants ; des mesures s’adaptant à la femme pour la grossesse, la maladie.
Instaurer un salaire parental
Des études récentes ont montré que beaucoup de femmes, suite à l’aide financière qui leur aient accordé, ont préféré délaisser leur bureau pour leur foyer. L’APE, l’allocation parentale d’éducation, le démontre bien. Cette allocation qui verse entre 232,08€ et 464.31€ par mois (la somme variant suivant l’activité professionnelle exercée. Ex : une femme ayant une activité à temps partiel plus au moins égale à 50% gagne 307,01€ par mois), a vu son nombre de femmes tripler lorsque l’allocation s’est étendu aux familles de deux enfants en 1994 (les bénéficiaires de l’APE passent de 110 000 en 1995 à 350 000 en 1998). L’enquête CREDOC effectué en 1999 prouve que 75% des femmes occupaient un emploie au moment de leur demande à l’APE (les trois quarts possédant un emploi stable et un quart, un emploi précaire), et 21% étaient au chômage. Après leur demande 27% restent au foyer, dont 22% qui sont au chômage. Après ceci, plus de la moitié retrouve à nouveau un emploie tout en se satisfaisant des conditions de travail et de leur retour. Ces chiffres ne cesseront de croire, prouvant qu’il y aurait de moins en moins de mal à la femme pour s’y réinsérer.
Cependant, ouvrir toutes grandes les portes de sa maison lorsque l’on est déjà accaparée par une activité professionnelle relève aujourd’hui de l’exploit : quand les mères