La folie
(330-303-BA)
Travail pratique
Présenté à Robert Arcand
Par
Edouard-Andrew Joseph
Groupe 02
Cégep Beauce- Appalaches
Vendredi 26 octobre 2012
Bonjour,
J’ai décidé de vous contacter après avoir entendu plusieurs commentaires positifs à votre sujet. Ma femme est très malade et après avoir consulté tous les médecins de la région, nous n’avons trouvé aucunes solutions.
Un des médecins nous a expliqué qu’il fallait voir cela d’un œil médical et scientifique et non religieux, car selon Pinel, le fou est une victime de la société et de son milieu. Le progrès de la science fait également que de nouvelles théories naissent et aident à la recherche de solutions. On pourrait faire une thérapie avec ma femme, car selon les médecins, elle n’a pas perdu la raison, mais il y aurait un problème au sein de sa raison, ce qui fait que la folie est émotionnelle. Toutes ces méthodes naissent du progrès de la science. On nous a également parlé du traitement moral qui est divisé en trois catégories.
En premier lieu, il y a le dialogue. Le médecin doit mettre confortable son patient afin qu’il se confie et s’exprime librement. Le résultat devrait être qu’un espoir de finir ses jours heureux voit le jour chez le patient, car comme il exprimer le fond de sa pensé, il pourra vaincre les passions qui affecte son humeur.
Ensuite, il est très important que le médecin établie son autorité sur le patient. Il doit réussir à atteindre l’imaginaire de son client, car le docteur est le seul maître de la situation et lui seul peut déterminer si le cas est normal ou maladif.
Finalement, il ne faut pas avoir peur de punir le patient qui agit de la mauvaise manière et refuse de coopérer. Le médecin interrompra tous dialogues avec le patient jusqu’au moment où le malade admet ses torts. À ce moment, le docteur pourra reprendre la conversation tout en faisant comprendre au patient qu’il n’hésitera pas à recommencer les sanctions.
J’aimerais