La guerre des ruines
Sup’TG 2A
Blettner Kevin
Sup’TG 2A
La guerre des ruines par Jean-Pierre Payot
* Introduction
Depuis la nuit des temps, l’archéologie autant de l’histoire que de la géopolitique. Avec la montée du nationalisme, l’archéologie est devenue un atout indéniable, pour qui sait s’en servir. De nos jours, la dimension archéo-politique est toujours présente, et est devenue un outil d’influence et de séduction.
Dans cet ouvrage l’auteur cite énormément d’exemples, prouvant que l’archéologie est devenue instrument de la géopolitique.
* L’archéologie, ou comment justifier ses racines.
Un des points clef du livre, est l’exposition, toujours avec des exemples, que les groupes ethniques ont depuis une centaine d’année cherchés à justifier leur appartenance à une terre. Il est cité l’exemple de l’homme de Kennewick. Cette histoire est particulièrement fascinante, mais expose pas mal de problèmes. En effet, des ossements retrouvés en Amérique du Nord et datant de plus de 9000 ans ont été découvert le siècle dernier. Il présentait des formes caucasiennes, et donc européennes. Si cet homme était européen, ce serait une perte énorme pour le peuple indien d’Amérique, qui touche de l’argent de l’état Américain, pour la simple et bonne raison qu’ils étaient là avant eux.
Dans ce livre, on peut voir qu’il est très important, pour énormément de peuple de justifier son appartenance à une terre aussi bien pour des raisons d’argent, que pour des raisons nationalistes. Le livre cite aussi l’exemple des nazis qui justifiaient leurs « conquêtes » par le fait que ces terres appartenaient à leurs ancêtres. En d’autre terme, l’archéologie servait aux nazis à justifier leur expansionniste en validant la théorie de l’espace vital.
* Archéologie biblique et géopolitique
Jusqu’il y a peu, toutes les découvertes devaient se conforter à ce qu’il y avait écrit dans la bible. Toutes les découvertes n’allant pas dans ce sens étaient soumises à censure. On