La littérature doit-elle se mêler de politique ?
En quel sens peut-on dire que la littérature est un moyen d’expression et qu’elle constitue l’engagement politique ?
Dans ce devoir nous verrons les différentes fonctions de la littérature, la littérature un moyen de faire passer ses idées, un moyen de se distraire et la littérature un art.
La liberté d’expression est le fait qu’il y ait une absence de contrainte exercée à l’encontre d’individus en raison de l’expression de leurs opinions, celle-ci permet donc à de nombreux écrivains d’exprimer leurs idées dans leurs œuvres. Le but de leurs textes est de permettre aux gens de réfléchir, de leurs donner de quoi penser par eux même. En traitant de politique la littérature amène à réfléchir sur les différents partis et aide ainsi à se faire sa propre idée politique. Dans l’antiquité le théâtre grec servait aussi à diffuser des messages ou des opinions de manière subjective. Au XVème siècle, de nombreux philosophes impliquent la politique dans leurs ouvrages, comme Rabelais dans Gargantua qui montre au lecteur son point de vue pacifiste vis-à-vis de la guerre, Thomas More dans L’Utopie qui a une vision tout à fait différente de celle du sortir du moyen-âge avec une vision assez futuriste de la façon d’organiser la cité, Machiavel dans Discours sur la première décade de Tite-Live dénonce, critique Rome et ses dictateurs. Au XVIIème et au début du XVIIIème siècle, Montesquieu dans De l’esprit des lois dénonce l’esclavage, «L’esclavage n’est utile ni au maître ni