Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera (la lettre), apparaît au début du XIIe siècle avec un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d'atteindre aux XVIIe ‑ XVIIIe siècles son sens principal actuel : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique. Jean Paul Sartres nous dit dans son autobiographie Les Mots écrit en 1964 que « J’ai pris ma plume pour une épée » il compare sa plume avec une arme. Nous pouvons donc nous demander si la littérature est une bonne arme contre les inégalités. Pour cela nous allons d’abord étudier en quoi la littérature est une bonne chose contre les différences, mais qu’elle semble ne pas être la meilleure manière de dénoncer les disparités.
Premièrement
La littérature est un bon moyen de parler des inégalités, car les écrivains portent un regard sensé et sensible sur le monde qui les entoure et ils permettent au lecteur de changer d’opinion. Voltaire a écrit un conte philosophique nommé Candide publié en janvier 1759. Dans son œuvre Voltaire critique l’optimisme de Leibniz car pour lui Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être mais Dieu l'a créé le meilleur possible. Le mal existe ponctuellement, mais il est compensé ailleurs par un bien infiniment grand. De plus, selon Leibniz, rien n'arrive sans qu'il n'y ait à cela une cause nécessaire. Pour critiquer l’optimisme Leibnizien Voltaire met en scène un personnage, Pangloss qui est un défenseur ridicule de cette philosophie et il prouve tout au long de son œuvre que l'on a tort de croire que notre monde est le meilleur des mondes possibles. Voltaire à travers de son œuvre décrédibilise la théorie de Leibniz et il change l’opinion du lecteur sur le monde où l’on vie. L’homme de lettre permet de comparer les avis du lecteur et donc de changer son opinion . L’écrivain a une grande influence.

L’écrivain a une certaine influence sur le monde qu’ils les