La légende de st julien l'hospitalier

337 mots 2 pages
La légende de St Julien l’hospitalier est la nouvelle qui a retenue le plus mon attention. Je l’ai trouvée beaucoup plus vivante que les deux autres avec un personnage dont la cruauté était intéressante à étudier, on peut relever les passages suivants « Les convulsions de l’oiseau faisaient battre son cœur, l’emplissaient d’une volupté sauvage et tumultueuse » ainsi que « Au bout d’une branche, un coq de bruyère dormait la tête sous l’aile ; Julien d’un revers d’épée lui faucha les deux pattes et continua sa route ». La première nouvelle «Un cœur simple » au contraire nous décrit une femme pure, généreuse, aimante, frôlant la « perfection », ce qui m’a vite lassée.
Ce conte contient également plusieurs rebondissements et quelques scènes de suspense ce qui m’a donné envie de lire la suite. On découvre alors que Julien n’a vraiment pas eu une vie heureuse mais va finalement trouver la paix dans la mort dans la scène du dénouement : « Le toit s’envola, le firmament se déployait ; - et Julien monta vers les espaces bleus, face à face avec Notre-Seigneur Jésus, qui l’emportait dans le ciel. »
La religion est abordée différemment dans ces contes et particulièrement dans La légende de Saint Julien l’hospitalier où Jésus se manifeste par l’intermédiaire d’un lépreux. Là ou un autre aurait éprouvé du dégout, Julien se plie à toutes les demandes du malade. Ainsi, on relève : « « J’ai faim ! » dit-il. Julien lui donna ce qu’il possédait, un vieux quartier de lard et les croûtes d’un pain noir » et « « C’est comme de la glace dans mes os ! Viens près de moi ! » Et Julien, écartant la toile, se coucha sur les feuilles mortes, près de lui, côte à côte. »
Cette nouvelle s’est également démarquée avec le passage « Il [le cerf] répéta trois fois : Maudit ! Maudit ! Maudit ! Un jour, cœur féroce, tu assassineras ton père et ta mère ! » où le fantastique côtoie la réalité. En effet, les livres scolaires que j’ai étudiés avaient très rarement le fantastique à leurs registres. Je

en relation

  • Texte philo 101
    972 mots | 4 pages
  • Traduction Little Red Riding Hood
    811 mots | 4 pages
  • Jean giono
    694 mots | 3 pages
  • marizibill
    341 mots | 2 pages
  • Le moi est-il haïssables
    1172 mots | 5 pages
  • Alcools, dans quelle mesure le recueil le recueil alcools de guillaume ap
    1804 mots | 8 pages
  • Étudiant
    1434 mots | 6 pages
  • Peut-on parler d’une disparition de la classe ouvrière ?
    1393 mots | 6 pages
  • Une histoire qui fait du chemin
    533 mots | 3 pages
  • Est-il encore permis d'avoir le doute ?
    443 mots | 2 pages
  • Candide
    522 mots | 3 pages
  • Commentaire fourberies de scapin
    659 mots | 3 pages
  • le rapport de brodeck
    2265 mots | 10 pages
  • toba tek singh
    2210 mots | 9 pages
  • patients
    1311 mots | 6 pages