La légende de st julien l'hospitalier
Ce conte contient également plusieurs rebondissements et quelques scènes de suspense ce qui m’a donné envie de lire la suite. On découvre alors que Julien n’a vraiment pas eu une vie heureuse mais va finalement trouver la paix dans la mort dans la scène du dénouement : « Le toit s’envola, le firmament se déployait ; - et Julien monta vers les espaces bleus, face à face avec Notre-Seigneur Jésus, qui l’emportait dans le ciel. »
La religion est abordée différemment dans ces contes et particulièrement dans La légende de Saint Julien l’hospitalier où Jésus se manifeste par l’intermédiaire d’un lépreux. Là ou un autre aurait éprouvé du dégout, Julien se plie à toutes les demandes du malade. Ainsi, on relève : « « J’ai faim ! » dit-il. Julien lui donna ce qu’il possédait, un vieux quartier de lard et les croûtes d’un pain noir » et « « C’est comme de la glace dans mes os ! Viens près de moi ! » Et Julien, écartant la toile, se coucha sur les feuilles mortes, près de lui, côte à côte. »
Cette nouvelle s’est également démarquée avec le passage « Il [le cerf] répéta trois fois : Maudit ! Maudit ! Maudit ! Un jour, cœur féroce, tu assassineras ton père et ta mère ! » où le fantastique côtoie la réalité. En effet, les livres scolaires que j’ai étudiés avaient très rarement le fantastique à leurs registres. Je