La mauvaise herbe, essaie
Bien qu’il existe plusieurs sorte de migration dans le livre La mauvaise herbe il est question de la migration de réfugiés politique.
Grâce à ce texte je tenterai de vous démontrer la persécution ainsi que les problèmes que ces réfugiés rencontrent qui me permettent de prendre position par rapport à cet enjeu.
En premier lieu, lors du commencement de mon livre l’annonce du Président Idi Amin Dada est déjà annoncée et dès le début l’on peut voir des persécutions faites en l’endroit de Sabine qui est indienne ougandaise mais de nationalité ougandaise.
Les visages sombres se rapprochèrent. Des femmes en gomesi et turbans multicolores, et des hommes torse nu brandissaient le poing en scandant « Muhindi, nenda nyumbani! Dehors, les indiens!»[i]
Un manifestant va jusqu’à cracher au visage de Sabine sans la connaitre. Les persécutions n’arrête pas la, au contraire plus les jours avancent plus cela empire :
Arrêtez! Sabine lança un regard désespéré vers les passants. Ils allaient sûrement intervenir. Mais ils restaient aussi immobiles que la chèvre abattue. Le soldat frappa encore oncle Zully, qui vacilla et s’effondra sur la chaussée. - Retourne en Inde! Retourne d’où tu viens![ii]
Vers le milieu du livre, les militaires commence à rechercher le père de Sabine, Sadru, afin de l’arrêter car il recherchait l’oncle Zully. Donc, lorsque les familles demande le statut de réfugié politique, c’est commun que ce soit pour des raisons où ils sont persécuté car ils recherchent quelqu’un ou parce que leur peau n’est pas comme celle des ougandais de souche.
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[i] Extrait La mauvaise herbe, p.11
[ii] Idem,