La mesure imparfaite du pib
Le PIB, produit intérieur brut, est la somme des valeurs ajoutées. Il mesure la richesse d'un pays d'une année à l'autre mais le PIB n'est qu'une mesure globale, elle reste effectivement imparfaite. L'inventeur du PIB, Simon Kuznets (1901-1985) avait déclaré en 1934 que « la mesure du revenu national peut difficilement servir à évaluer le bien-être d'une nation » Ce n'est donc pas un indicateur vertueux de bien-être. En effet, Le PIB ne prend pas en compte plusieurs éléments qui coopèrent à une magnanime qualité de vie. Les loisirs comme la lecture, le sport et les divertissements sont exclus. Par exemple d'après le macro-économiste Gregory N. Mankiw nous dit que si les salariés d'une entreprise n'avaient aucun jours de repos et qu'ils travailleraient toute la semaine, le PIB augmenterait car la production des biens et des services seraient plus conséquente. Cette analyse est correcte mais les individus concernés n'auraient pas de moyens de se divertir, ils ne pourraient pas garantir une bonne psychologie pour travailler et donc pour produire plus de biens et de services. Non seulement, le PIB ne prend pas en compte le divertissement de l'individu mais il ne se charge pas non plus de la qualité de l'environnement , en effet, si le gouvernement éliminait toute la codification sur l'antipollution, les entreprise pourraient produire beaucoup plus sans s'alarmer de la pollution qu'elles engendrent. Il n'y aurait plus de principes et de «code» à respecter. Ainsi le PIB valorise les biens et services à l'aide des prix de marché, mais il évince un grand nombre des activités qui s'exercent en dehors des marchés. Effectivement, il néglige la production domestique, ce que l'on fait soi-même pour notre propriété. Enfin, cet indicateur ne prend pas en compte la redistribution du revenu. Par exemple avec des revenus au sein d'une entreprise inégalement réparties, certains individus seraient mieux payés qu'un autre alors qu'ils