La montée des libertés et la chute de l’absolutisme
La montée des libertés au 18ème siècle a été provoqués par des idées nouvelles données pas les grands philosophes mais aussi par l’ambiance d’une France qui avait soif de changement et de justice. Diderot nous explique que « la liberté est un présent du ciel », qu’elle doit être égale pour tous car, quoiqu’il advienne, il y a « un maître supérieur au-dessus de tout », autrement dit Dieu, à qui il appartient seul de juger de notre droit à cette liberté. C’est dans cet esprit que l’agitation en France fit son apparition. Le roi « dont les dispositions [était] excellentes » n’est pas parvenu à maitriser la situation à cause de son « défaut [d]es ressources de l’esprit » nous explique Arthur Young. En effet, la cour, presque intégralement contre une égalité des libertés, était « enfoncée dans le plaisir et la dissipation » et ne procurait presque aucune aide au roi. De plus, « une grande fermentation parmi les hommes de tout rangs qui aspiraient à du nouveau » a provoqué une envie de liberté. En effet les postes les plus élevés, dans l’armée par exemple,