La morale
Morale au sens étymologique signifie les mœurs, les liens que les Hommes nouent entre eux.
La morale a une dimension normative, règles qui s’imposent à nous comme des normes. L’étique demande quel est le meilleur pour l’Homme, dimension théologique. Tandis que la morale à une dimension déontologique.
Morale : ensemble de normes, de règles que nous respectons voir imposons au niveau de nos conduites. Donc exigence au niveau es actes. Parfois la contrainte et c’est l’obligation toujours.
Kant : Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que puis-je espérer ? Qu’est ce que l’Homme ?
L’Anthropologie est une discipline qui concerne la réflexion sur l’Homme.
La plus part du temps du pensons que la morale vient de l’éducation, dans ce cas elle n’est que sociale, donc signe de faiblesse, contrainte car elle vient de l’extérieur. Répression dans la morale.
Je peux être immoral et respecter les lois. « Pas vu, pas prit. »
Nietzche parle de la faiblesse de la morale. On s’interdit de faire des choses par l’expérience, par la peur de la punition, par le regard d’autrui (= morale extérieure.), par respect pour autrui, par rapport à la conscience, par la raison.
Bergson : Morale close (sociale)/morale ouverte. L’exigence morale nous vient de l’extérieure, pour une cohésion sociale. Morale authentique vient de la subjectivité, exigence intime de soi par rapport à soi. Si la morale est sociale le danger est de fonctionner à l’idéologie, les individus la pratique mais par peur, nourri en nous la tentation de l’immoralisme car elle ne vient pas de nous.
Morale au sens fort : obéir à la loi qu’on s’est donné nous même. Possible car la raison est en nous mais difficile avec la pression d’autrui.
Morale sociale permet la conservation, l’unité de la société.
La plus part du temps on n’est pas moral car on agit par rapport à autrui.
Bergson « Le souvenir du fruit défendu est ce qu’il y a de plus ancien dans la mémoire de chacun de nous, comme dans celle de l’humanité »