La mort des artistes
Albert Camus
Le texte qui suit a été abouti qu’après un long processus de préméditation de ma part en revanche celui-ci, ne devrais faire aucune victime, du moins je l’espère pour vous. « Mais qu’est-ce dont que l’exécution capitale, sinon le plus prémédité des meurtres auquel aucun forfait criminel, si calculé soit-il, ne peut être comparé ? » de Albert Camus. Celui-ci a vécu dans un siècle ou l’exécution d’un condamné était une pratique courante que l’on peut presque comparé aujourd’hui, en terme de fréquence, à l’achat d’un nouveau pot de gel. Notre ami Albert Camus n’est pas un penseur qui réfléchi tranquillement chez lui, à l’abri, derrière son bureau. Il sait exactement de quoi retourne les questions de peine de mort car ce dernier avait en effet été condamné à mort puis acquitté. Il vécut les mêmes conditions et les mêmes états moraux que les condamnés de l’époque donc il a un regard plus objectif sur la peine de mort , comme le disais Victor Hugo : « On peut avoir une certaine indifférence sur la peine de mort, ne point se prononcer, dire oui et non, tant qu'on n'a pas vu de ses yeux une guillotine. » .
La préméditation est l'intention mûrie et délibérée de commettre une action, surtout mauvaise et l’exécution capitale n’est d’autre que la mort d’un condamné. En définitive, après analyse, Camus met le doigt sur un aspect très important, l’exécution capitale est un crime réfléchit de ce faite il l’est encore plus grave que les autres. Notre chère Camus, je dois l’avouer est très doué car avec sa citation il soulève des questions qui me semble essentiel de relever : La peine de mort est-elle un crime ou n’est que justice? Pourquoi l’exécution capitale peut être considéré comme le pire crime imaginable ?
La peine de mort est-elle un crime ou n’est que justice? Il faut observer deux cas :
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