La mort d'olivier becaille
1. Présentation de l’ouvrage
[pic] Émile Zola est né à Paris le 2 avril 1840 et il y est décédé le 29 septembre 1902. Ecrivain, journaliste et homme public français, il est considéré comme le chef de file du naturalisme.
C’est l'un des romanciers français les plus universellement populaires, l'un des plus publiés et traduits au monde. Ses romans ont connu de très nombreuses adaptations au cinéma et à la télévision. Sa vie et son œuvre ont fait l'objet de nombreuses études historiques. Sur le plan littéraire, il est principalement connu pour la fresque romanesque des Rougon-Macquart en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire.
Les dernières années de sa vie ont été marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'Aurore, de l'article intitulé « J’Accuse…! » qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres.
Le titre de l’œuvre est La mort d’Olivier Bécaille, parue sous les éditions Librio. Sa première parution date de 1884.
2. Travail sur le récit
1) le narrateur
Le roman est rédigé à la 1ere personne du singulier. C’est Olivier Bécaille qui raconte « sa mort ». Le narrateur est donc intérieur à l’histoire, c’est un personnage de l’histoire.
2) le cadre et l’époque
L’histoire commence un samedi à six heures du matin et se déroule rue Dauphine dans un hôtel meublé parisien.
On peut imaginer que le récit se passe au moment où Emile Zola le raconte, mais les indices sont maigres. On peut toutefois le supposer car il est écrit que la voisine d’Olivier Bécaille allume une bougie et que l’électricité n’est donc pas encore dans chaque foyer !
Il n’y a pas de description de valeurs, de comportement, de violence. On sait seulement qu’Olivier Bécaille n’était pas un homme fortuné et qu’après sa mise au tombeau sa femme va se marier avec un certain Monsieur Simoneau, un homme riche.
3)