La mort
QUESTION 4
Dans, Atlas des français, on constate que les familles et proches confits de plus en plus les mourants à des personnes spécialisées. C'est ainsi que les maisons funèbres se sont développées, et que « l'activité des pompes funèbres occupe 20 000 personnes ».Conséquences, des métiers sortent grâce à la spécialisation de la mort. Les familles n'accompagnent plus les souffrants jusqu'à la fin de leur vie en restant près d'eux, puisque l'on a repérer plus de 70 % de décès dans les hôpitaux, et autre établissement de soins. Des familles françaises sont prêtes à débourser des milliers d'euros pour que l'on fasse le « boulot » des défunts à leur place. Le culte des mort est de moins en moins pratiquer en France. Les gens voient la mort comme une choses a ne pas affronter et à éviter, cacher, dissimuler.
VERS LA SYNTHESE
1977, Essai sur l'histoire de la mort en Occident du Moyen Age à nos jours, on nous dit que la mort nous était familière! On préparait la mort avec une grande faciliter. Côtoyer la mort était une habitude, une normalité de la vie que l'on attendait avec savoir faire. Les familles, proches et inconnus participaient a l'adieu du mourant. La mort était naturelle et apprivoisée. On l'affrontait sans peur ni honte! Référence à La fête des morts au Mexique ( ambiance festive) L'homme et la mort sont presque sociable. Mais la mort est passée de la familiarité au tabou. La mort est devenu au fil du temps une chose aseptisée, niée, cachée. On a commencer à avoir peur de la mort. Référence au Triomphe de la mort de Bruegel. On assiste a une « désocialisation de la mort » comme il est dit dans le texte de Louis Vincent Thomas. S'occuper du malade ou même du mort est une chose que les gens ne veulent plus faire de nos jours. Au XX ème siècle les proches ont surement du dégouts, ils manquent de temps et d'affection pour le défunt... S'occuper d'un mort n'est pas important, il est préférable de se préoccuper de son travail et