La peine de mort selon Robert Badinter
Il aura fallut plus de deux siècles de questions, de débats houleux et d'executions sanglantes pour que cesse, le 9 octobre 1981, la peine capitale en France.
La France, l'une des première nation à abolir l'esclavage, l'une des première à abolir la torture, est l'une des dernières si ce n'est la dernière, à avoir révoquer la condanation supremme au sein de l'Europe: la peine de mort.
PARTIE 1) L'histoire de France et la peine de mort
Le but de l'Histoire et de l'expérience est d' éviter de répéter les erreurs passées, qu'elles qu'elles soit. L'abolition de la peine de mort a de nombreuses fois été refusé pour la même raison: la peur. Cette peur qu'ont les citoyens du crime, du chaos, de l'opignion divergente. Elle s'effacer grâce à l'idéé que les criminels aurez eux peur de la mort. Il n'en est rien.
Comme Robert Bandinter le disait si bien "et si la peur de la mort arrêtait les hommes, vous n’auriez ni grands soldats ni grands sportifs. Nous les admirons, mais ils n'hésitent pas devant la mort." Plusieurs personnes, à l'abolition de la torture, ont crus à une augmentation fulgurante du taux de crimanalité en France: ce taux n'a jamais évolué. Robert Bandinter, dans son célèbre discours, s'appuie sur des faits historiques et incontestables pour accentuer la force de son discours.
Il l'utilise également pour souligner l'ancienneté de la requète et du retard qu' à la France sur certains pays. Retracant tout le débat sur la peine de mort à travers les siècles, il souhaite ainsi faire évoluer les mentalités et prouver que la peine de mort n'est en aucun cas dissuasive.
1. La loi du Thalion l'une des plus plus anciennes lois jamais écrites et sans doute l'une des pires. Consistant à punir un criminel par l'objet même de soin crime, elle est considéré comme inhumaine.
2. De 1888 à 1897, la peine de mort était toujours en vigueur: il y eu 3066 homicides. De 1898 à 1907,