La peine de mort
Ce travail traitant de la peine de mort est issu de différents textes élaboré par ;
Le grand écrivain Albert Camus, auteur du roman « L’étranger », Auguste Villers, auteur d’un texte intitulé le « Réalisme de la peine de mort, et l’ancien bâtonnier français, Robert Badinter auteur d’un discours contre la peine de mort présenté à l’Assemblée National.
A la lecture des différents textes écrit par ces grands auteurs, il en résulte qu’ils posent tous la même question, faut-il abolir la peine de mort. ? Pour ces derniers, une seule réponse s’impose, la peine de mort doit-elle être abolie? Ils nous démontrent que l’application de la peine de mort dans notre société n’a jamais eu un effet dissuasif. La peine capitale ne fait plus peur, elle n’est que synonyme d’humiliation et de régression pour le genre humain. Dans une société en pleine évolution tant du point de vue de mentalité que de la tolérance, l’homme peut –il s’abaisser à commettre un acte aussi barbare, doit –il se résoudre à l’application pur et simple de la loi du « talion « œil pour œil, dent pour dent « ? Doit- il être réduire à agir comme un animal ?
Les défenseurs les plus ardents de la peine de mort trouvent – ils dans l’application de cette dernière une satisfaction personnelle ? L’élimination pure et simple du problème est-elle source de réparation ? Il n’est pas question ici de pardon ou d’oubli pour les crimes les plus odieux qui ont été commis, il est plutôt question d’autres formes de punitions et de prise de conscience des actes commis.
On peut dès lors en conclure que ce qui guide les partisans de la peine de mort, est la passion et la peur, qui, si elles ne sont pas maîtrisées, peuvent triompher de la raison de