La phobie scolaire
Je vais faire le résumé d’un article intitulé « La phobie scolaire se soigne» qui a été écrit par Pascale Senk en aout 2010 et publié dans « Le Figaro ». Cet article est divisé en deux parties. Dans un premier temps, sont énoncés les faits et les conséquences des angoisses des enfants liées à l’école. Et dans un deuxième temps, sont données les solutions appliquées et envisagées par des spécialistes.
Tout d’abord, environ 4 à 5 % des enfants scolarisés de tout âges souffrent d’angoisses vis-à-vis de l’école. Pour 1 % d’entre eux ce syndrome est considéré comme grave, on parle alors de « phobie scolaire ». L’article commence en montrant qu’il est très difficile de discerner et de comprendre ce phénomène chez les enfants ou jeunes adolescents. En effet, un pédopsychiatre Gilles-Marie Valet constate que lorsque les enfants se plaignent de maux physiques tels que de l’asthme ou des nausées… les parents après de nombreux rendez-vous chez des généralistes pensent qu’ils « font semblant ». Cette opinion est aussi souvent partagée par les professeurs ce qui amènent à de grandes confusions qui ne touchent pas le véritable problème. Aussi, les professionnels, on pour difficulté de distinguer le refus scolaire qui vient d’un trouble de l’apprentissage ou d’un refus vraiment lié à l’anxiété. Et même dans certains cas, les enfants seraient heureux de suivre des cours, sont prêts à découvrir et à apprendre mais sont bloqués et n’y arrivent tout simplement pas. On peut prendre l’exemple d’une enseignante dans le supérieur, qui est aussi présidente de l’association « Phobie scolaire », Viviane Chelli. Sa fille, en classe de 4e, a commencé à souffrir d’une incapacité à se rendre à l’école. L’enseignante le justifie en constatant qu’il y a eu des éléments déclencheurs : le décès de sa meilleure amie, un déménagement récent et un changement d’établissement. Pour Viviane Chelli, malgré la complexité du problème, ces syndromes seraient dus à un