"La poésie est-elle faite pour être lue à voix haute ?"

I QUESTIONS :

Nous pouvons remarquer que les 4 textes possèdent un jeu sonore dominant qui participe à la construction du sens du discours ...

Dans le poème d’Henri Michaux « Le grand combat » , est ambigu au plan du sens ...
C’est plutot du côté des jeux sonores qu’il faut chercher l’intérêt ce texte.
En effet, les vers libres nous montrent un jeu d’effets phoniques importants et répétitif .
Dans un premier temps Michaux s’appuie sur des effets de répétition : l’anaphore de la structure syntaxique le pronom personnel « il », qui est un pronom complément et verbe au présent se retrouve dans les quatre premiers vers du texte v. 1-4 , de plus, ce jeu anaphorique se retrouve aux vers 12-14 avec l’évocation de différents éléments corporels « pied, bras, sang » ; enfin, une dernière anaphore se lit dans les trois derniers vers v. 18-20 ..
Ces effets sonores participent du sens du poème car la voix poétique s’adresse ici à des « mégères » v. 17, qui peuvent être associés à des sorcières « marmite, Grand Secret ». donc , cette parole poétique musicale peuvent faire penser à des formules magiques prononcées par des encheteresse afin de charmer et de rendre les sortilèges efficaces. . Dans le poème de Victor Hugo , « Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir » , dégage un refrain .
Nous pouvons remarquer qu'a la fin de chaque strophe de neuf vers, deux vers se montre réccurent
« Le vent de la mer / Souffle dans sa trompe » v.8 et 9 ...
Ce refrain nous laisse penser à une onde déchaînée ...
Ce refrain contribue à apparenter ce poème à une chanson : c’est le rythme et la musique de la mer qui résonnent dans le texte.
Dans le poème d’Henri Michaux « Le grand combat » , est ambigu au plan du sens ...
C’est plutot du côté des jeux sonores qu’il faut chercher l’intérêt ce texte.
En effet, les vers libres nous montrent un jeu d’effets phoniques importants et répétitif . Dans un