La princesse de Mantoue
Pour vous lancer, mettez d’abord les terminaisons verbales qui conviennent. Le temps dominant est le présent :
« Personne, se dit le vieil homme, de plus en plus inquiet, je ne vois_ personne au bout de cette rue. Pourvu qu'il ne lui soit _ rien arrivé. »
La rue dévale_ en pente légère jusqu'à l'endroit où il se tient_ , il pourrait_ apercevoir Anya de très loin. Toute cette cité est bâtie sur de petites collines qu'ils descendaient jadis, tous les deux, à bicyclette, ou qu'ils remontaient en peinant.
Anton ne chantait_ plus. Ni le rythme ni les mots ne parviennent_ à enrayer son angoisse. Il jetta_ un coup d'oeil sur sa montre, cela fait_ plus d'une heure que sa femme est partie.
Soudain, il entendis_ des pas derrière lui. Des pas lents, des pas lourds. Anton se retourne_ et aperçoit_ un étrange jeune homme qui s'avance_ .
Ce dernier porte_ un képi au rebord tourné vers la nuque, de hautes bottines de cuir malgré la chaleur, un pantalon en treillis, un ceinturon de cuir. Sa chemise n'a rien de militaire : elle est large, blanche, flottante.
Il tient négligemment une mitraillette sous le bras :
« Qu'est-ce qui se_ passe_ ici » demanda_-t-il avec autorité.
Andrée Chédid Le Message
Mettez les terminaisons convenables ; les verbes sont au présent :
On écrit comme on peut Moi, j'écris comme ça viens, comme le coeur me chants, comme coure le stylo, comme vole les hirondelles entre orage et beau temps. J'écris comme des chansons, j'écris pour fredonner sur des jours oubliés, sur ceux qui partent pour le dernier voyage ou pour d'autres bras. J'écris pour faire revivre, enfin pour exister ne serait-ce qu'un instant, celui où l'on formule, et où le mot se plit pour rendre le son exact. J'écris pour les enfants qui ne lient jamais, enfin j'écris pour moi, et oui, pour rien ! Voilà les raisons pour lesquelles je pare à l'aventure, avec le nez au vent, avec l'espoir que le hasard fait bien les choses, que la