La reconnaissance automatique de l’ecriture
Reconnaissance de l’écriture 1
Les problèmes du tri postal 1
Lire, cela paraît si simple … 1
Nécessité de l’automatisation 1
De l’imprimé au manuscrit 1
Evolution de la communication écrite 1
Déroulement des opérations de reconnaissance 2
Description du texte 2
Conversion des documents 2
Langue et écriture 2
Langues et fontes de caractères 2
Reconnaissance des documents complexes 3
Divers types de documents complexes 3
Documents chiffrés 3
Formulaires 3
Problèmes non résolus 3
LA RECONNAISSANCE AUTOMATIQUE DE L’ECRITURE
D e la reconnaissance optique de caractères à l’analyse de documents, les logiciels présentent aujourd’hui des performances qui satisfont nombre de particuliers.
Reconnaissance de l’écriture
Les problèmes du tri postal
Lire, cela paraît si simple …
S i lire une adresse est un processus cognitif[1] qui peut nous sembler basique, il utilise des ressources que les ordinateurs ont bien du mal à mettre en œuvre. Lorsque l’œuvre est imprimée, le problème est simplifié : la qualité est souvent bonne, les polices de caractères sont en nombre fini et l’emplacement des signes est relativement bien déterminé ; En revanche, une adresse manuscrite pose d’autres types de problèmes : reconnaissance des caractères aux formes variables, des zones de l’adresse, etc.
Nécessité de l’automatisation
C haque jour, un gros centre de tri de La Poste traite près d’un million de lettres. A raison d’une lettre par seconde, une personne seule mettrait une dizaine de jours pour trier cette journée de trafic de courrier (en y passant tout son temps). S’il veut être efficace, le tri postal doit utiliser des techniques automatisées. Mais pour cela, il faut reconnaître l’adresse de destination et, en premier lieu, le code postal.
De l’imprimé au manuscrit
D ans les années 70, les industriels conçoivent des machines de reconnaissance automatique de l’écriture. Initialement, les logiciels