Droit constitutionnel II Mohamed ANAS MOSTAFA Licence I – Group I
En son discours de 1962, de gaulle a affirme que «Certes, on ne saurait accepter qu'une dyarchie existât au sommet » cela pour instaurer un exécutif fort au contraire des républiques précédents dont le première ministre est plus prééminent sur le président. Cela a été la source des inquiétudes, lorsque d’une part, sous la Vème république il ya une dépendance extrême du gouvernement sur les décisions du président et d’une autre part la quasi-indépendance du gouvernement en périodes de cohabitation. La constitution de 58 est tellement ambigu qu’on ne sait pas jusqu'à maintenant quelle est la direction spécifique du régime politique et d’administration du pays. S’il est présidentiel, semi-présidentielle ou parlementariste ? Ce qu’on peut conclure de la constitution est que l’exécutif est très fort supportes par le media ce qui catégorise le président comme la face du pays et ses institutions et on peut jamais nier le rôle de media en délivrant le message pour le peuple. Ce qui comme De gaulle la souhaitait et en accord avec l’article 5 de la constitution, le président sera le chef de l’état garant et arbitre. Maintenant, âpres la révision constitutionnelle de 2000, pour réduire le mandat des 7 ans a 5 ans pour coïncider avec l’élection du parlement et presque éviter la cohabitation au future.
Mais, en faisant cela on donne le président la possibilité d’indépendance et irresponsabilité parce que le premier ministre en périodes de concordance ne s’agit qu’un organe qui applique les décisions prises ou inspirées par le président de la république et a traduire les choix politiques de ce dernier. Plus que cela on a les pouvoirs