La Route Cormac McCarthy
Un événement apocalyptique a frappé le monde. Le roman de Cormac MacCarthy s’ouvre sur un paysage de désolation et la route comme seul horizon. Il y aura la route, le chemin vers cette mer lointaine comme espoir de retrouver une vie non polluée, et les excursions pour trouver équipements et nourriture afin de poursuivre la route. Il y a un homme et un jeune garçon. Bien qu’ils souffrent de l'exposition au froid et du manque de nourriture, ils ne rencontrent pas trop de danger. Ils poursuivent leur route et le lecteur découvre leur monde. Mais ils vont être confronté à un groupe de survivants qui se sont constitué en horde barbare pour survivre : ils tuent, pillent, violent, mangent tous ceux qu’ils rencontre… L'homme et l’enfant, pris en chasse par la horde, essaient de se cacher. Mais un « barbare » les poursuit et l’homme est obligé de l’abattre. C’est un signe, ils ne doivent plus s’aventurer loin de la route. Plus tard, affamés, ils fouillent de vieilles maisons abandonnées et découvrent, horrifiés, un sous-sol complet de captifs humains détenus comme du bétail. Celui qui vit dans cette maison s’est constitué un garde-manger ! L'homme et l'enfant s’enfuient juste avant de se faire attraper par le gang qui vit dans cette maison. Puis nos héros ont une période de chance, certes ponctuée de quasi-famine et de maladie, mais au moins ils n'ont plus à craindre les barbares. Au moment où ils sont tous les deux sur le bord de la famine, l'homme trouve un verger et un puits, ils ont de quoi boire, se nourrir et reconstituer leurs réserves, lesquelles s’épuisent malheureusement vite. Ils vont alors découvrir un abri plein de marchandises et de conserves. Ils passent quelques jours ici manger et à se reposer. Puis ils quittent le refuge. La nourriture dure pendant un certain temps jusqu'à ce que, une fois de plus, ils soient affamés. L'homme devient vraiment malade et fiévreux. Le garçon aperçoit une maison au loin -