texte de Jean-Noël Kapferer extrait de son livre Rumeurs, le plus vieux média du monde, est un texte argumentatif sur le pouvoir de la rumeur dans les consciences collectives.

2. Le texte traitant du pouvoir de la rumeur, on pourrait poser la problématique suivante :

Quelle place accorde t’on à la rumeur dans notre société ?

3. - Le mot « ersatz » dénote un produit de remplacement.

Le sens de ce mot dans le texte semble n’être pas moins différent de son sens dénoté. En effet, c’est un sens qui renvoi plutôt à un produit de remplacement de qualité inférieur, de mauvaise qualité. De ce fait, la rumeur serait donc un média de qualité inférieur à celui des médias fiables et contrôlés.

- Le mot « la foi » dénote une assurance de tenir ce que l’on a promis

Le sens de ce mot dans le texte fait référence à la confiance, la croyance (avoir foi en quelqu’un) Dans ce cas, la rumeur serait un média auquel on accorde une parfaite confiance sans même le besoin d’apporter une preuve.

4. D’abord condamnée comme déformation de la réalité, la rumeur à été ensuite prise au sérieux comme complément d’information aux systèmes des médias de masse Cependant, les avis différent quant à la crédibilité à donner à ce type d’information puisqu’elle échappe à toute vérification. C’est là qu’agit notre bon sens car il faut faire le tri entre les rumeurs visant à déstabiliser, écorner une image, et les vraies informations pertinentes et fiables.
Nous pouvons également ajouter que la rumeur agit directement sur notre bagage culturel. En effet, nous acquérons inconsciemment des informations et les stockons sans forcément le savoir juste par le bouche à oreille. Ainsi, la rumeur n’est plus véritable ou vérifiée car elle est vraie dès lors que nous la