Suite à la guerre, tous les hommes ont abandonnés leurs familles et sont partis se combattre sur le front A l’arrière du front, ne restent plus que les femmes ,les enfants et les hommes qui sont soit trop jeunes ou soit trop vieux pour servir leur patrie. Ainsi, toute la main d’œuvre disponible est mobilisée et participe à l’effort de la guerre.

I / Les civils qui constituent l’arrière.

A) Les femmes, un soutien de famille.

Après le départ des hommes, les femmes sont devenues le soutien de famille car elles s’occupent des enfants ainsi que des parents. Elles sont inquiètes de perdre leurs proches qui sont à la guerre et doivent attendre plusieurs heures de fil d’attente pour les rationnements qui les nourrissent à peine. La mobilisation des femmes s’élève à 430 000 femmes, ce qui était inimaginable avant la guerre. C’est ainsi qu’elles découvrent leur capacité de travailler .Ces femmes remplacent les hommes au travail dans les champs, dans les usines ou dans les administrations .Elles fabriquent des obus ou des munitions: elles sont appelée les munitionnettes. Certaines deviennent aussi marraines de guerre, elles écrivent aux soldats pour les rassurer et leurs envoient des colis composés essentiellement de nourriture.

B) Les autres aident aussi comme les enfants, les vieux ou les cerveaux.

Tout d’abord, les enfants ont pour rôle de faire de la propagation. Ils circulent dans les salons ,les cafés et dans les rues pour vendre les journaux. Puis, les « cerveaux »,qui sont plus utile à l’arrière,donne des stratégies.(pas trouver grand-chose)

c) La mobilisation des colonies.

Cependant, la mobilisation des femmes et des autres ne suffit pas à pallier la pénurie de main d’œuvre. La France fait donc appel aux colonies, en particulier les hommes venant de l’Afrique noir comme le Sénégal ou le Mali. D’ailleurs c’est la première fois que la France fait appel aux colonies pour les conflits européen. Les colonies ont joué un rôle primordial