La taxonomie des stratégies d’apprentissage consiste du plan métacognitif et du plan cognitif. En éducation, la métacognition améliore la capacité des apprenants à faire face aux situations scolaires.
Deux éléments essentiels de la métacognition sont la conscience de ses propres processus cognitifs et la connaissance des tâches et des situations dans lesquelles une activité cognitive est impliquée. La conscience métacognitive consiste de la connaissance de soi en tant que personne apprenante, et la connaissance des activités mentales utilisées dans les situations d’apprentissage.

Les stratégies métacognitives proposées sont anticiper et s’autoréguler. Anticiper consiste d’observer et d’analyser des connaissances déjà acquises relativement aux situations impliquées. S’autoréguler permet une meilleure adaptabilité aux situations d’apprentissage.

Les stratégies cognitives sont des situations où l’apprenant doit traiter les informations dans le but de les apprendre.

Il y a six stratégies cognitives de traitement qui entrent dans la taxonomie : sélectionner, répéter, décomposer, comparer, élaborer, organiser.

Les quatre stratégies cognitives d’exécution (évaluer, vérifier, produire, traduire) représentent une catégorisation des différentes actions ou procédures habituellement associées aux situations de performance, de production et d’exécution.

L’affectif aussi bien que le social, fait partie des variables dont il faut tenir compte en éducation.
En ce qui concerne les stratégies de gestion des ressources, certains les considèrent (Boulet et collab., 1996 ; Cartier, 2000) comme des stratégies que l’apprenant utilise pour se créer un environnement adéquat (ses ressources environnementales), pour faire appel aux ressources dont il pourrait avoir besoin (ressources matérielles ou humaines) ou encore pour tenir compte des conditions temporelles auxquelles il doit faire face.

Les conditions temporelles réfèrent aux caractéristiques