La traduction
Avant de commencer l’absorbation du sujet je considère qu’il est bien d’expliquer les plus importants termes qui je vais utiliser dans mon travaille : « traduction » et « traduction littéraire ».
La traduction c’est l’activité traduisant par laquelle on replace un texte source par le même texte qui est traduit en langue cible en vue d’éliminer l’inaccessibilité du texte original.
Laplace C. croit que la traduction doit être abordée comme une « activité langagière a part entière », et non pas uniquement comme une activité qui porte sur la langue, sur des productions de langue. La traduction littéraire est une traduction qui demande des aptitudes en stylistique aussi une bonne imagination et des connaissances culturelles. Pour faire une traduction littéraire il faut « reproduire l'effet intégral du texte original chez le lecteur en langue d'arrivée, autant que le sens des mots ». La traduction doit être aussi plaisante à lire, et susciter les mêmes émotions que l'original, suivant l'adage de Cervantès : « ne rien mettre, ne rien omettre ». Les grands traducteurs, quelle que soit la langue, ont une formation très exigeante, études littéraires et universitaires, dans leur langue maternelle, langue vers laquelle ils traduisent, mais aussi et surtout dans celle de laquelle ils traduisent – et grand nombre de traducteurs littéraires traduisent de plusieurs langues »
Jusqu’à la seconde Guerre Mondiale la traduction avait été considérée comme un art. La traduction était l’affaire d’écrivains, de philosophes, des bilingues spécialisés dans différents domaines scientifiques, des traducteurs.
Toute œuvre littéraire est porteuse d'un sens symbolique qui est profondément caché par les structures linguistiques apparemment très faciles à traduire. Quant on parle de la traduction, il faudrait plutôt parler du monde