la transpitation
1-Introduction
Les plantes consomment des centaines de kilogrammes d’eau par kilogramme de matière sèche. Elles doivent, donc, transmettre à l’atmosphère la plus grande partie de l’eau qu’elles ont extraite du sol. Le rejet de vapeur d’eau par les plantes est appelé transpiration.
Le flux transpiratoire est du au gradient de vapeur entre les feuilles et l’atmosphère. En d’autres termes, la transpiration est soustraite aux plantes par la demande évaporative de l’atmosphère.
Le carbone nécessaire a la plante y entre sous la forme de dioxyde (CO2) à travers les ouvertures stomatiques et l’eau sort par diffusion à travers ces mêmes ouvertures aussi longtemps qu’elles restent ouvertes. Cela constitue le dilemme auquel la plante doit régulièrement faire face : comment faire entrer le maximum de CO2 à partir d’une atmosphère où il est fortement dilué (0.03 %) et en même temps retenir le maximum d’eau possible pour remplir et conserver toutes les cellules turgescentes afin de procurer un milieu favorable dans lequel le CO2 peut être, grâce à la photosynthèse, transformé en molécules organiques.
La plus grande partie de la transpiration se fait par les stomates, mais elle peut également se faire à travers la cuticule (transpiration cuticulaire).
2-Mesure de la transpiration :
L’intensité transpiratoire (I.R) se mesure en nombre de molécules, grammes ou kilogrammes, millilitres ou litres d’eau rejetés, par unité de poids ou de surface, par unité de temps (heure le plus souvent).
En général, un végétale absorbe et transpire son propre poids d’eau : 1 litre/jour pour un pied de vigne, 500 litre/jour pour un arbre des régions tempérées soit 30 tonnes par jour et par hectare de forêt.
La transpiration peut être mesurée par :
- Estimation par certaines formules (PENMAN, TURC….) dans le cas de zones ou de régions ,
- Lysimètre (champ),
- Pesée de pots.. ;
- Psychromètre
Globalement, ces techniques permettent de