La victoire, tome 3 des mémoires de guerre
Point culminant. II.
Pivot de l’oeuvre. III.
Dévoiler les qualités de De Gaulle : politique et écrivain. I.
Point culminant. 1.
Victoire de la France.
Le mot « victoire » est tellement répété qu’il devient un refrain. A travers cet emploi réitéré, nous trouvons une vision victorieuse de la France entièrement consacrée au coût décisif. Cette victoire à valeur de symbole car De Gaulle insiste sur la reconquête de territoires injustement enlevés par l’ennemi. L’Alsace est perçue comme un enjeu crucial : tout va se jouer à Strasbourg contre l’armée allemande. La reconquête des Alpes se fait sous le même signe. La France retrouve sa légitimité d’antan en redéfinissant ses frontières. Cela permet de lire un De Gaulle terriblement déterminé. De Gaulle fait preuve d’un attachement extrême à ces deux territoires. Pour lui, l’Alsace, comme les Alpes, sont sacrées ; on ne touche pas comme ça à l’unité nationale. 2.
De Gaulle est un triomphateur.
De Gaulle triomphe auprès des alliés, auprès des soldats, et auprès du peuple français. Il semble atteindre son apogée vis-à-vis des forces alliées, vis-à-vis des forces alliées, vis-à-vis du peuple français qui chercher son dirigeant. II.
Pivot de l’oeuvre. 1.
Bilan militaire.
Dans ce chapitre, De Gaulle prévoit déjà des lendemains douloureux. Il dresse, à la fin des combats, un bilan militaire en apportant un bilan chiffré avec une chronologie détaillée. Il évoque cette fraternisation entre les soldats des forces alliées. Ce bilan est l’occasion de montrer la « réussite parfaite » de la victoire des alliés. Il analyse la défaite allemande. Il prononce un discourt radiophonique. C’est également dans ce chapitre que De Gaulle évoque la mort d’Hitler et de Mussolini. 2.
Annonce de la suite.
De Gaulle craint une dispersion des forces alliées. Cela lui vient à l’esprit notamment dans le conquête de l’Alsace. Il entrevoit