Le rêve de d'Alembert écrit par Diderot, est l'une des œuvres les plus importante de la philosophie. C'est une exposition des idées en forme de dialogue, il donne la parole à son « ami » d'Alembert. En effet, Diderot exprime des idées matérialistes, il aborde des sujets très controversée pour l’époque car il exprime l’unité de la nature et critique toute tentative de classer les êtres. Son matérialisme est un pur athéisme pour l’époque car pour lui si l’âme meurt il n'y a plus de religion. …afficher plus de contenu…

Nous verrons comment fonctionne cette mécanique entre les deux mais aussi les conséquences de cette pensée matérialiste de Diderot. Diderot nous explique comment il conçoit l'homme, ainsi il voit comme une combinaison de molécules sensible et vivante qui communiquent leur sensibilité et s’intègrent dans l’unité de l'organisme en entier. Dans la métaphore de l'essaim d'abeilles, Diderot illustre la formation du corps de l’être vivant : ainsi, les points sensibles du corps qui vont correspondre aux abeilles, vont se combiner pour former des organes et le corps entier est pensée sur le modèle de l'essaim. Donc, chaque organe est comme un animal dans un organe, et chacun ressent son plaisir et ses sensations. Par la répétition de ces deux personnages, Diderot met en place cette mécanique qui va fonctionner ensemble. Sans combinaison de molécule, il n'existe pas de corps, ici …afficher plus de contenu…

Ce texte est une toile d’araignée d'informations nécessaire pour la théorie matérialiste de Diderot. Diderot se sert de d'Alembert mais aussi des deux autres personnages pour faire sortir de leur bouche une théorie qui peut faire changer les mentalités, Diderot est dans tout le texte, ainsi il est dans d'Alembert, mais également dans Bordeu qui continue et finit les paroles de D'Alembert, pour exprimer ce que Mlle de L'Espinasse ne peut pas faire. Il arrive à avoir une crédibilité envers les lecteurs mais aussi envers les personnages. Diderot sait pertinemment que c'est un grand défi et que tout doit se former sur un fondement scientifique sans Dieu et donc sans créateur, il faut donc se baser sur une science générale de l'homme, ou toutes cellules qui se forment deviendraient un être humain à par entière, se formant sur un autre être. Un recours à la