La poésie permet-elle d'échapper au spleen au Spleen
Enfin nous verrons comment il transforme « la boue en or » et sa vision non réelle de lui même.Tout d’abord la poésie lui permet d’échapper au Spleen car il parle d’un idéal, l’aspiration vers la perfection et de la représentation d’un imaginaire qui vient par moment permettant de briser cette chaîne du Spleen, briser ce temps comme mettre une pause sur son malheur que le poème « le goût du néant » confirme : il compare le Spleen au temps qui « l’engloutit » mais au début de se poème il s'adresse à lui-même, sûrement dans le cadre d'une évolution historique passée, il parle à son cœur en lui disant qu’il peut se reposer, il est donc dans une phase de calme puis juste après on reparle du temps qui l’engloutit minute par …afficher plus de contenu…
En effet le premier tercet du poème suggère une hypothèse « Et qui sait » qui apparaît comme un élan d'espoir. Cet élan d’espoir provient des images de la strophe précédente du le cycle des saisons, l'automne, puis l'hiver associé à la mort, font espérer le renouveau du printemps, il parle aussi de fleurs nouvelles en automne ce qui est « rare » car les feuilles des arbres tombent donc il y voit la beauté et la nouveauté qu’il rêve. Il parle encore cependant d’orage, de tonnerre indiquant sa tristesse déchirante qui « lave » tout sur son passage, enlève toute trace de soleil (de bonheur). Mais à cause de cette douleur continue, il finit par se détacher/se dissocier de la réalité de tel point qu’il n’en reste plus les pieds sur terre (ce