Lagrange
Né à Turin (Italie), il y enseigna les mathématiques dès l'âge de 19 ans à l'école d'artillerie. A 23 ans, Il se fit brillamment connaître par la publication de ses Actes de la société privée où il aborde des sujets de physique mathématique : isopérimètres (calcul de variation), acoustique, hydrodynamique.
Il connut d'Alembert et Euler auquel il succéda à la présidence de l'Académie des sciences de Berlin (1766) et revint à Paris en 1787 à l'invitation de Louis XVI.
Membre fondateur du bureau des longitudes, Lagrange fut anobli par Napoléon. Savant universel, ce brillant mathématicien, physicien et astronome (expert en mécanique céleste) est inhumé au Panthéon.
Encouragé dans ses débuts par d'Alembert (de 20 ans son aîné), sa contribution est essentielle en :
Arithmétique, Algèbre : équations algébriques et résolution approchée;
Théorie des fonctions réelles et complexes; développements en série (formule de Taylor) : Lagrange reconstruit l'analyse en s'intéressant tout particulièrement aux fonctions développables en série dans sa Théorie des fonctions analytiques (1797);
Équations différentielles et aux dérivées partielles; Intégrales elliptiques;
Calcul des variationsCalcul des variations : dans sa Calcul des variations : dans sa Mécanique analytiqueCalcul des variations : dans sa Mécanique analytique (1788), il explique les perturbations des orbites planétaires en appliquant à la théorie newtonienne les principes mathématiques du Calcul des variations : dans sa Mécanique analytique (1788), il explique les perturbations des orbites planétaires en appliquant à la théorie newtonienne les principes mathématiques du calcul des variationsCalcul des variations : dans sa Mécanique analytique (1788), il explique les perturbations des orbites planétaires en appliquant à la théorie newtonienne les principes mathématiques du calcul des variations Calcul des variations : dans sa Mécanique analytique (1788), il explique les