Pierre Huet et Michel Bouvard on étudié ensemble, dans les années 1970, à l’Université du Québec à Montréal. Par la suite, ils décident de former le groupe culte Beau Dommage en compagnie de Robert Léger. Malgré un immense succès ensemble, ils décident de ce séparé en 1978. Cependant, avant la dissolution du groupe, Pierre et Michel écrit, en 1975, « Le blues d’la métropole » parlant des joies et des peines d’un groupe de jeunes, habitant dans le quartier de Villeray entre 1975 et 1986. Mais peut-on dire, qu’avec ses paroles, que l’auteur dénigre les gens de sa génération ?
Nous allons tenter de répondre à cette question en démontrant dans un premier temps, les points positifs que l’auteur fait ressortir sur la façon dont vivent les jeunes de son âge à cette époque, pour finalement analyser les impacts négatifs qu’il y a eu à ce moment précis sur eux.

I. Les joies présentes chez les gens de sa génération A. La beauté B. L’amour

II. Les impacts négatifs sur les gens de sa génération A. La campagne B. Peu de jeunes corrects C. Les mauvaises pulsions face à la politique D. L’addiction à la bière

En conclusion, nous pouvons dire que l’auteur met en avant les impacts négatifs des jeunes, car son texte démontre plus ces effets, que ceux positifs, à cette époque. Ainsi, nous pouvons dire qu’il dénigre les jeunes de sa génération dans ce texte.
Nous pouvons notamment voir cette façon de faire chez les chanteurs de notre génération, surtout chez les rappeurs qui font ressortir leur vision souvent négative de la politique face à la réalité du