Le bohneur cours
Introduction
I- Le Souverain Bien
- Aristote, texte 12 page 114 II- L’idéal de l’imagination - Kant, texte 35 page 319 III- Différents concepts du bonheur Conclusion
Introduction
Bon Heur
Mal Heur
L’heur, c’est d’abord la chance ou la fortune. Se sont deux configurations qui se rattachent à quelque chose où il y aurait une forme de passivité. C’est quelque chose que l’on attend et que l’on veut atteindre (attendre/atteindre).
La lanterne de Diogène qui l’allumait en plein jour car sa période était très sombre. Il cherchait un homme au sens moral.
C’est l’idée du destin.
Le bonheur est-il à attendre ou à atteindre ?
I- Le Souverain Bien
Aristote
Sin idée est que, d’un côté, il y a unanimité pour dire que le bonheur est le bien suprême (Souverain Bien), et que d’un autre côté, sitôt qu’on essaie de le définir, l’unanimité s’annule. Chacun va donner une définition différente. Pourtant, une définition doit être universelle. Tout le monde recherche le bonheur, mais personne n’est capable de lui donner une définition universelle.
Texte page 114, n°12
La difficulté à cerner la nature, l’essence de cette chose est qu’il y a unanimité pour le nom, le bonheur.
La définition comporte les qualités et les propriétés.
Il y a un désaccord entre la foule, le sage et les individus. Définir, c’est d’abord distinguer.
Pourquoi faut-il distinguer ce que le sens commun confond ?
Le plaisir et le bonheur. C’est quelque chose de globale. On peut éprouver du plaisir sans être heureux. Le bonheur touche le sens de l’existence. Une suite de plaisir ne constitue pas le bonheur.
Le plaisir est une sensation physiologique qui suppose la présence de l’objet, cause de plaisir. C’est quelque chose de ponctuel, momentané. Le plaisir peut avoir des désagréments s’il est mal compris. Là où le plaisir est une sensation, le bonheur est une valeur.
Pourquoi ne peut-on pas considérer que l’honneur serait la