Le bon, la brute et le truand et la guerre de sécession
Un western spaghetti sous toile de fond de guerre civile
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Sommaire
Sommaire 2
Méthodologie 3
Introduction 4
La guerre : un thème cher à Leone 5 Rappel historique sur la guerre de Sécession 5 Les influences de Leone 6 Influences artistiques 6 Influences historiques 7
Place et rôle de la guerre dans le film 8 Une critique engagée mais sans parti pris 8 “For three men the civil war wasn’t hell. It was pratice!” 9
Conclusion 10
Annexes 11
Bibliographie 12
Méthodologie
À l’annonce des trois films possibles pour la constitution du dossier de méthodologie, j’ai tout de suite su que je prendrai Le bon, la brute et le truand.
Lors de cours optionnels de cinéma en L1, nous avions vu beaucoup de scènes de Il était une fois dans l’Ouest. Je n’avais encore jamais vu le film auparavant et je me suis donc décidé à le visionner dans son intégralité. J’ai immédiatement adhéré à la façon dont Leone met en place l’intrigue. Tout se fait dans la durée : les scènes sont longues, étirées au maximum jusqu'au moment culminant où le suspense est à son comble. Puis survient l’action : rapide, presque éclaire.
J’ai vu Le bon, la brute et le truand quand j’été beaucoup plus jeune, vers l’âge de dix ans. Je ne me souviens plus exactement, mais je pense même avoir vu la trilogie du dollar. Difficile de la manquer quand on sait qu’à l’époque elle passait une, voire deux fois, par an sur RTL9. Je me suis donc dit que revoir ce classique du western spaghetti avec un regard plus mature ne pourrait qu’être bénéfique et, que de toute façon, je ne pourrai pas être déçu, étant donné l’impression agréable que m’avait laissée Il était une fois dans l’Ouest.
J’ai donc commencé par visionner le film (en VO pour un plaisir décuplé) à gardant à l’esprit qu’il fallait dégager une problématique à traiter. Et c’est là que j’ai eu le plus de mal. Je ne savais pas trop vers quelle voie aller. Je me suis donc rendu à la