Le bonheur dans le survenant
Question: Est-il vrai d’affirmer que, dans Le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme ?
Point de vue : Oui, il est vrai d’affirmer que, dans Le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme.
Argument principal 1
Pour le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme puisqu’il lui permet une grande liberté. Sous-argument 1.1: Le nomadisme donne au Survenant la liberté d’agir. Sous-argument 1.2: Le nomadisme donne au Survenant la liberté de s’en aller quand il veut. Sous-argument 1.3: Le nomadisme donne au Survenant la liberté de prendre des risques.
Argument principal 2
Pour le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme puisqu’il lui permet de découvrir.
Sous-argument 2.1: Le nomadisme donne au Survenant l’opportunité d’élargir ses capacités.
Sous-argument 2.2: Le nomadisme donne au Survenant l’opportunité de connaitre une nouvelle culture.
Sous-argument 2.3: Le nomadisme donne au Survenant le rêve des nouveaux terres.
Étape 2 : Rédaction
Pour le Survenant, le bonheur réside dans la découverte. L’apprentissage d’un nouveau métier, d’une nouvelle culture, la découverte de nouveaux coins de terre, le Survenant y tient très chèrement. On sait que le Grand-dieu-des-routes est habile, qu’il possède plusieurs métiers, qu’il est très fort et qu’il aime chanter et jouer du piano. Pour lui pourtant, ce n’est pas assez…il veut sans cesse continuer à apprendre. Suite à un entretien avec Angelina où elle lui suggère de gagner de l’argent en chassant le rat d’eau, il se met à la tâche immédiatement. D’abord, « le Venant voulut chasser le rat musque tout de suite, sans tendre des pièges, sans amener Z’yeux-ronds et sans prendre conseil de personne » (p. 141), mais après une défaite totale où il n’a attrapé qu’un seul et unique rat, il accepte alors les conseils de Didace. Sa soif de découvrir le pousse à élargir ses connaissances. Et c’est ainsi aussi vrai dans le champ culturel. À plusieurs reprises, le