Le bonheur et le plaisir
Pour débuter, il faut savoir qu’il y a de grands problèmes dans l’éthique du bonheur. En effet, certains disent qu’ils sont reliés, directement ou indirectement, ceux-ci sont les hédonismes. Tandis que d’autres, ont une théorie totalement à l’inverse, c’est-à-dire qu’ils n’associent aucunement le bonheur au plaisir. On peut associer Aristote ou les penseurs cyniques et stoïciens cette deuxième théorie.
Bonheur et plaisir
Tout d’abord, cette partie est associée à l’hédoniste (du grec hêdonê qui signifie «plaisir»). Cette théorie met le plaisir en équivalence avec le bonheur, elle les met directement lié. On peut également l’associer à Épicure et aux cyrénaïques. Ces derniers (les cyrénaïques) en sont venus à la conclusion que les humains cherchaient toujours à avoir du plaisir et à éviter la douleur. Selon eux, le bonheur est une accumulation de plaisir particulier et il faut vivre chaque moment de sa vie en cherchant le plaisir partout. Ils disent aussi que les plaisirs et les souffrances physiques sont plus forts que celle psychologique.
Le bonheur irréductible au plaisir
Ensuite, cette théorie est complètement à l’encontre de la conception hédonisme. Elle compte d’autres penseurs tels qu’Aristote ou les penseurs cyniques et stoïciens, ceux-ci sont d’avis que le bonheur est irréductible au plaisir. D’après eux, les plaisir ne sont que superficiels. Le bonheur est dû à des moments de satisfactions, tels que tomber en amour, quand on réalise un rêve, qu’on a un enfant, ou encore, remporter une grande victoire. Bref, quand la personne est comblé au-delà de ses espérances.
Réfutation sur la conception des hédonistes
Enfin, je trouve que la conception des hédonistes sur le plaisir est complètement farfelue. En effet, selon la définition du plaisir, Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l’esprit et du corps, d’où la souffrance, le stress, l’inquiétude et le trouble sont absents.