L’histoire commence dans le bureau de Boris Balkan, critique littéraire(J1). Lucas Corso, chasseur de livres, vient le voir pour lui demander d’authentifier un livre qui appartenait à un éditeur nommé Enrique Taillefer(mort pendu chez lui une semaine plus tôt). Ce livre est le 42ème chapitre des « Trois Mousquetaires » d’Alexandra Dumas : le vin d’anjou.
Corso vient vérifier l’authenticité du livre pour son ami La Ponte qui est le nouveau propriétaire de ce chapitre. Boris Balkan le dirige vers un libraire sur Paris : Achille Replinger.

Le lendemain (J2), Corso va chez un libraire appelé Varo Borja pour récupérer son exemplaire des « Neuf Portes du royaume des ombres » pour mener son enquête sur l’authenticité de ce livre qui comporte 9 gravures et qui aurait le pouvoir d’invoquer le diable. C’est pour cela que Corso va dans les jours qui suivent voir les personnes qui possèdent les 2 autres exemplaires existant des « Neuf portes ».

Il va tout d’abord voir, à Sintra au Portugal, 3 jours après avoir vu Boris Balkan (J5), Victor Fargas qui possède le 2ème exemplaire et 2 jours après avoir vu Fargas il va voir la baronne Von Unguen sur Paris(J7) qui possède le 3ème exemplaire.

Quand Corso compare ces 3 exemplaires des « Neuf portes », il remarque que sur chacune des gravures il y a une différence dans 1 des exemplaires par rapport aux 2 autres.

Mais selon Corso, les deux recherches d’authenticité sont liées. En effet :
- Corso se fait agresser par plusieurs reprises par un homme qui semble être le sosie de Rochefort des « Trois Mousquetaires » (âgé de 40 à 45 ans avec une moustache et une cicatrice à la tempe),
-Liana Taillefer, la veuve, lui fait penser à Milady(une fleur de lys sur la cuisse etc…),
- l’auteur des « Neuf Portes », Aristide Torchia, est mort la même année que la mort d’Artagnan,
- et Fargas et la baronne sont morts juste après que Corso a examiné leurs exemplaires.

Au cours de son enquête, Corso a fait la connaissance d’une jeune