Le commerce international
Les théories traditionnelles sont-elles toujours valables pour expliquer le commerce international ?
→ théories traditionnelles : SMITH (avantage absolus) ; RICARDO développe la théorie des avantages comparés dans les principales limites sont : une vision statique, incapacité à expliquer le commerce intrabranche, les origines de l’avantage comparatif, la possibilité de commercer lorsque deux pays possèdent les mêmes avantages comparatifs. MILLS explique la répartition du née de la spécialisation. À la différence du modèle de Ricardo et de Smith, le théorème de HECKSCHER et OHLIN raisonne sur un modèle à deux facteurs de production et considère que les deux pays possède des technologies identiques. Un pays intérêt à exporter le bien dans la production est intensive dans le secteur relativement abondants et a importé le bien dans la production des intensives dans le facteur est relativement rare. Le théorème de STOLPER, SAMUELSON estime que les détenteurs du facteur rare perdent pas l’échange international, tandis que les détenteurs du facteur abondant y gagne. D’où le théorème HOS selon lequel il y aurait une égalisation relative et absolue des prix des facteurs de production entre les deux pays qui échangent. Pour RYBCZYNSKI, lorsque la dotation factorielle d’un pays évolue, la spécialisation du pays va se déformer en direction du bien intensif dans le facteur qui augmente.
→ le modèle HOS et remis en cause en 1951 par le paradoxe de LEONTIEFF. À partir de là, deux voies sont prises par les théories du commerce international : une première voie qui considère les enseignements des modèles traditionnels comme pertinents, mais dont il faut affiner les hypothèses (approche néo-factorielle, néo-technologique, hiérarchisation des avantages comparés) ; une approche qui considère que le cadre théorique de la spécialisation internationale les plus valides pour comprendre le commerce intrabranche (différenciation des produits, rendement de