Le célibat des prêtres
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Jérôme 6D Dissertation française
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Thème : le célibat des prêtres. Le culte doit-il primer sur la liberté individuelle ? Faut-il continuer à perpétuer des traditions arriérées ? Le mot religion est-il devenu synonyme de restriction ? Comment l’église peut-elle prêcher l’amour dès lors qu’elle le limite pour eux à la problématique conflictuelle, amour Christ ou amour d’un être? Malheureusement je ne saurais vous donner de réponse claire, nette et précise, mais les différents renseignements, témoignages et mon propre avis que je vais vous donner pourront, peut-être, vous aider à vous forger votre opinion. Il est évident que les plus extrémistes d’entre nous répondront sans hésiter qu’il est important de respecter les valeurs fondamentales des religions quelles qu’elles soient. Une religion est construite sur des principes énoncés par ses fondateurs, les modifier ou les supprimer, ferait perdre pied à toute la structure mise en place. « Une voiture ne peut se déplacer sans roue », les religions perdent leur sens lorsqu’on en modifie les bases. Ces paroles perdent cependant leur sens lorsque l’on se renseigne et que l’on se rend compte que le célibat des prêtres n’apparaît sous aucune forme dans l’évangile. Initialement dans la religion hébraïque de l'époque classique, les prêtres juifs du Temple de Jérusalem étaient mariés et devaient cependant s'abstenir de toutes relations sexuelles pendant leur « tour de service » au Temple qui durait un mois par an. Ce souci d'abstinence était lié non pas à une notion de péché dans « l'acte de chair » comme on le perçoit dans certains textes du Judéo-christianisme, mais plutôt à un désir de pureté rituelle.
La question concernant le célibat