Le droit à la vie privée
Phase de questionnement :
Il y a quelques mois de cela, un jeune garçon de 13 ans s’est suicidé à la suite d’une série incessante d’intimidation, à Savoie, en Europe. Il se faisait intimider par les élèves de son école à cause de ses cheveux roux et des vidéos de rap qu’il postait sur You tube. Comme vous pouvez le constater, mon sujet amené reste plutôt vague, ne vous donnant aucune information précise qui pourrait vous faire douter de l’identité de cette personne. Malheureusement, la plupart des journalistes et des blogueurs ne sont pas aussi discrets que moi. Les médias ont fait de cet évènement des gorgées chaudes, sans se soucier de l’impact de leur indiscrétion vis-à-vis les personnes concernées par ce drame lugubre.
-Sujet posé (pourquoi) : Pourquoi l’approche des médias était inappropriée dans cette histoire?
Facultatif (Sujet divisé : Selon moi, l’approche des médias est inappropriée car les journalistes ont fait preuve d’indiscrétion et ont encouragé la prise de position et de débats entre les citoyens, qui n’étaient aucunement concernés.)
Phase explicative :
1er élément de réponse : Tout d’abord, voyons pourquoi les chroniqueurs ont fait preuve d’autant d’indiscrétion. Premièrement, les médias ont dévoilé beaucoup trop d’informations concernant le jeune homme. Par exemple, le nom de cet adolescent, sa ville natale, la manière qu’il s’est suicidé, et où il s’est suicidé. En effet, dans de nombreux articles, on mentionne aussi où il est scolarisé, et en quelle année. Je juge que la plupart de ces renseignements ne nous regardent pas, et se doivent de rester dans le domaine du privé. Pour tout vous dire, nous n’avons pas besoin de connaître à quelle école il va pour savoir qu’il s’est suicidé! Cette information, parmi tant d’autres, est impertinente. Contrairement à ce suicide-ci, où la vie d’un jeune garçon inoffensif a été exposée à tout le monde, celui d’une fillette de sept ans a été annoncé dans la plus